Le dimanche égrène ses heures avec lenteur. Tout est calme, pas de précipitation, pas de taches urgentes à accomplir, le temps est dévolu à l’envie, au désir qui se présente. Le piège serait de le croire illimité, de se complaire dans cette nonchalance et ce relâchement de l’esprit et des muscles, de passer à côté de son plaisir. L’indolence, le non effort, la non douleur, est un lac paisible qui peut vite se transformer en marécage. (76)
Dominique Cano - auteur 
Sensation « dominiquale » apaisante jusque dans l’illustration.
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« Le dimanche c’est un jour autre, même le soleil est différent… » Yves Montand
Bon dimanche, bordé de calme..,
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Merci Myo. Bon dimanche
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Exactement ! Bon dimanche 🙂
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merci Marie, il fut doux
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Pas de risque que je tombe dans ce piège! Je déteste les dimanches. Mais ce billet doux donne bien envie de vivre les dimanches apaisé et serein 🙂
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Les dimanches peuvent être vus comme des mini vacances 🙂
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Enfin apaisés et sereins, c’est mieux 😀
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je n’avais rien vu, j’étais en mode nuageux
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J’aimerais retrouver cette indolence, qui ne risque pas de virer marécage chez moi… Juste un dimanche, ça reviendra je suppose. Ton texte est toujours aussi poétique et charmeur ! 🙂
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Merci Asphodèle. ce peut être un dimanche ou tout autre jour, gouter à un peu de sérénité, bientôt pour toi, j’en suis sûre.
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Oh si ! Ne rien faire de tout le dimanche ….
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Les pieds en éventail, et la mine réjouie: je te vois bien!
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Merci de ce joli texte. Je sais vivre avec lenteur et langueur, notamment le dimanche. En ce moment la cueillette, l’épluchage et le mijotage des fruits du jardin y contribuent beaucoup. Mon piège, c’est d’être triste de ne pouvoir le vivre à deux. Cela gâche mon plaisir…
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Il y a des moments qui sont des préparations
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Je pense avoir quelques dimanches de retard…
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